• Consommations « sociales » (occasionnelles ou régulières), définies par exemple selon les recommandations de l’OMS :
– pas plus de trois «verres» par jour pour les hommes, deux pour les femmes
– pas plus de quatre verres en une occasion
– au moins un jour par semaine sans alcool.
• Consommations excessives, à risque, mésusage.
• Situations de dépendance (maladie alcoolique)
Pourquoi «maladie alcoolique» plutôt que «alcoolisme» ou «alcoolo-dépendance» ?
Parce que le terme alcoolisme :
- est imprécis : s’applique aussi bien au mésusage (comportement de consommation excessive ou à risque à la dépendance)
- est connoté de façon péjorative
Maladie alcoolique :
• Un trouble acquis du fonctionnement cérébral
• Maladie chronique, de développement progressif, marquée
de rémissions et de poussées/rechutes.
• Prédisposition génétique; héritabilité élevée.
de rémissions et de poussées/rechutes.
• Prédisposition génétique; héritabilité élevée.
• Prévalence élevée de certains traits de personnalité et de facteurs environnementaux dans son développement :
– traits de personnalité favorisant l’usage d’une substance psychotrope :
• difficultés relatives au « contrôle des émotions »
• comportement à type de « recherche de sensations »
– événements de vie renforçant le besoin de consommer une substance anxiolytique
• Distinguer la maladie elle-même (les signes « addictifs » proprement dits et les autres signes cliniques) des ses complications (somatiques) et de ses conséquences (psycho-sociales)
– traits de personnalité favorisant l’usage d’une substance psychotrope :
• difficultés relatives au « contrôle des émotions »
• comportement à type de « recherche de sensations »
– événements de vie renforçant le besoin de consommer une substance anxiolytique
• Distinguer la maladie elle-même (les signes « addictifs » proprement dits et les autres signes cliniques) des ses complications (somatiques) et de ses conséquences (psycho-sociales)